La Parisienne « avec ou sans filtre ».

Publié le par Journal du Luxe

Le mythe de la Parisienne peut-il se réinventer au-delà de son propre cliché ? Décryptage dans le BLSTK Replay de cette semaine, contenu de veille stratégique du luxe développé par l’agence BalistikArt.

La Parisienne, figure mythologique du Luxe.

Vous n’avez pas pu échapper au phénomène « Emily in Paris », la dernière série Netflix signée Darren Star, créateur de la série Sex in the City. Qu’on l’adore ou qu’on la déteste, l’héroïne de la série, Emily Cooper est devenue un « meme » sur les réseaux sociaux et un sujet d’observation « mode » pour la presse féminine.

Au cœur des conversations, une problématique se pose : Paris incarne-t-il toujours l’idée du luxe à la française ? Le mythe de la Parisienne peut-il se réinventer au-delà de son propre cliché ? L’éternel archétype des grandes maisons de luxe s’enrichit de ses propres contradictions : un mélange de sophistication et de je-m’en-foutisme, recette magique de ce « je ne sais quoi » qui la rend toujours aussi désirable auprès d’une clientèle de luxe internationale. Un paradoxe qui n’a évidemment pas échappé à la Maison Chanel qui rend hommage à cette parisienne iconique en noir et blanc dans ses beaux quartiers pour sa dernière campagne SS2021.

©Chanel

Ce personnage semi-réel et super-cinématographique fera l’objet d’une étude BALISTIKART. D’ici là, quelques réflexions autour de cette néo-parisienne : et vous, vous la préférez avec ou sans filtre, en VF ou en VO ?

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