Courbet : la joaillerie durable au Printemps Haussmann et au Salon du Luxe Paris

Publié le par Journal du Luxe

« Sans le bien, le beau n’est rien ». Telle est la devise de la Maison Courbet dont nous vous annoncions il y a quelques mois l’arrivée sur la place Vendôme. La jeune marque de haute joaillerie durable s’apprête désormais à franchir une nouvelle étape avec l’ouverture d’un second point de vente au coeur de la capitale… et une intervention inédite au Salon du Luxe Paris 2019 !

Une nouvelle vitrine pour le diamant de synthèse

© Courbet

Conçues à partir d’or recyclé et de diamants de culture élaborés en laboratoire, les créations de Courbet entendent bien renouveler les codes de la durabilité dans le monde de la joaillerie. Récemment mise à la Une pour avoir établi un record – celui d’avoir vendu une bague sertie d’un diamant de neuf carats, soit « le plus important diamant de culture taille brillant jamais créé » – la jeune maison impulse ce parti-pris écologique aux collections épurées et ludiques de Marie-Ann Wachtmeister, directrice artistique et co-fondatrice de la marque. Céleste, Eclipse, 02… les bagues, colliers, bracelets et boucles jusqu’alors disponibles en ligne et au sein de l’appartement-showroom de la place Vendôme, s’installent également désormais au premier étage du Printemps Haussmann. De quoi assurer une continuité cohérente avec l’opération (Re)créez (Ré)inventez présentée jusqu’au 12 mai par le grand magasin en vue de promouvoir les modes de consommation responsables

Courbet au Salon du Luxe Paris

La Maison Courbet partagera également ses engagements durables sur la scène du Salon du Luxe Paris, rendez-vous majeur des professionnels du secteur qui se tiendra le 09 juillet 2019 à la Salle Wagram.

Manuel Mallen, co-fondateur de la marque passé par Piaget, Baume & Mercier ou encore Poiray, prendra ainsi la parole sur la table ronde « L’Odyssée Verte : Sustainable de A à Y », dédiée aux innovations en matière de Luxe durable. Il reviendra notamment sur l’ADN green de Courbet et le choix de se tourner vers le diamant de synthèse, dont la fabrication nécessite sept fois moins d’eau que l’extraction d’un diamant de mine.

Détails et inscriptions sur le site du Salon du Luxe Paris

par Journal du Luxe