La nouvelle montre Tiffany & Co convoque l'énergie solaire

Doté d'une technologie inédite pour la Maison, ce nouveau garde-temps vient compléter la ligne joaillière Rope imaginée par Jean Schlumberger à la fin des années 50.

Une extension horlogère de la ligne Rope

Le design façon corde qui encercle la lunette est on ne peut plus caractéristique. Imaginé par Jean Schlumberger pour Tiffany & Co, Ropes'inspire des cordons tressés observés par le créateur durant son enfance au sein de la manufacture textile familiale en Alsace.

Décliné au fil du temps en bagues, colliers, bracelets ou clips d'oreilles, ce motif emblématique prend désormais un nouveau tournant en inspirant une montre inédite dont la conception s'est aussi appuyée sur des documents issus des archives de la griffe new-yorkaise fondée en 1837.

Si l'effet torsadé, ici en or jaune 18 carats, est repris sur les deux cercles de la lunette - qui propose une version 27 millimètres sertie de 38 diamants ronds et une version de 33 millimètres agrémentée de 39 diamants -, il peut également s'observer sur les aiguilles du modèle.

Une technologie solaire au poignet

Disponible en blanc nacré ou en noir laqué, le cadran abrite quant à lui un mouvement solaire de haute précision, une première pour Tiffany & Co.

Développée en collaboration avec la manufacture de mouvements La Joux-Perret basée à La Chaux-de-Fonds au cœur de la "Watch Valley" suisse, cette technologie aux accents durables repose sur l'intégration de cellules solaires sous le cadran, lui-même semi-translucide : deux minutes d'exposition à la lumière permettent d'alimenter la montre pendant 24 heures alors que la Maison, qui appartient au groupe de luxe LVMH, promet une autonomie allant jusqu'à huit mois pour une charge complète.